• Nos jours heureux

Publié le par 67-ciné.gi-2006













Nos jours heureux 1h43 comédie de Éric Toledano et Olivier Nakache







avec :
Jean-Paul Rouve, Marilou Berry, Omar Sy, Lannick Gautry, Julie Fournier    , Guillaume Cyr, Joséphine De Meaux, Jacques Boudet, Jean Benguigui, Catherine Hosmalin, Arthur Mazet, Jeremy  Denisty, Arthur De Donno, Yannis Belal, Johanna Ansart, Cindy  Colpaert, Martin  Jobert, Ilona Bachelier, Idit Cebula, Jean-Michel Lhami, Farida  Ouchani, Josette Menard, Michel Winogradoff, Joël Pyrene, Jean-Pierre Mesnard, Pascal Guerin, Yvon Martin, François Toumarkine, Olivier Nakache, Serge Pierre-Gaudou, Charlotte Ledoux, Eric Toledano, Lise Lametrie, Jean-Yves Roan, Olivier Rosemberg et Lionel Abelanski


durée : 1h43
sortie le 28 juin 2006

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Synopsis
Bagarres inoubliables à la cantoche, premiers amours, premières cigarettes, premières boums, visites impitoyables de musées « chiants », nuits sous la tente ou à la belle étoile… ça ne vous rappelle rien ?
Cet été, Vincent Rousseau (Jean-Paul Rouve) va diriger sa première colonie de vacances !
Entre les animateurs complètement déjantés (Marilou Berry, Omar Sy...), les gamins intenables et les visites surprises de "Jeunesse et Sport", ces 3 semaines vont être plus mouvementées que prévues !
Les colonies de vacances... c'est pas forcément des vacances pour tout le monde !


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Notes de production
Au cœur d'un été idéal, enfants et moniteurs vont vivre un séjour inoubliable. Chacun arrive avec son histoire, et toutes vont se confondre le temps des vacances. De fous rires en émotions, de rencontres surprenantes en situations impossibles, petits et grands vont tout vivre plus fort, plus vite et se faire de grands souvenirs.
Avec eux, nous allons goûter ensemble la fraîcheur de ces jours heureux…

Bien plus qu'un scénario
Eric Toledano, coscénariste et coréalisateur du film avec Olivier Nakache, explique : « Pour nous, ce film est vraiment un projet à part. Il associe les deux éléments essentiels de notre parcours. Avec Olivier, nous nous sommes connus dans une association qui s'occupait de faire partir des enfants en vacances, et nous étions passionnés de cinéma. Dès que nous avons tenu une caméra, nous avons d'abord réalisé un court métrage sur une colonie de vacances qui s'appelait Ces Jours Heureux... »

Olivier Nakache : « Ce que nous avons vécu à travers tous les séjours, que ce soit en tant qu'enfants ou animateurs, nous a marqués. Ce sont des moments dont on se souvient toute sa vie. Nous n'avons pas imaginé ce scénario, nous avons puisé dans nos émotions, nos souvenirs, pour restituer l'atmosphère d'été, d'énergie, la puissance des sentiments et l'impact considérable de ces moments-là. »

Eric Toledano : « Quand nous avons commencé à travailler dans le cinéma, nous nous sommes souvenus que beaucoup de ce que nous avions vécu dans les colonies de vacances relevait de la dramaturgie la plus pure. On y trouve des choses tendres, drôles, émouvantes, hilarantes, ainsi que des évolutions dans la trajectoire des personnages comme un film l'exige. Un séjour de trois semaines en colonie de vacances change tous les enfants et tous les animateurs. »

Nicolas Duval, producteur : « Eric et Olivier avaient ce projet en tête depuis leurs débuts. Nous y pensons depuis que nous nous connaissons. Etrangement, alors que le projet était déjà avancé, ils n'en ont pas fait leur premier film. Ils ont écrit le scénario pendant la préparation de Jepréfère qu'on reste amis Entre nous, c'est une collaboration de longue date et ensemble, nous avons fait notre premier film, eux en tant que réalisateurs et moi à titre de producteur. Il y a une confiance mutuelle. Nous avons eu la chance que cela marche. »

Le producteur poursuit : « En découvrant leur scénario, j'ai beaucoup ri. C'est un sujet tellement proche d'eux, nous parlons si souvent de leur passé de moniteurs de colo que tout s'est fait très naturellement. Il ne s'agissait pas d'une envie subite, mais d'une évidence. Je n'ai jamais été moniteur mais, comme beaucoup, je suis allé en colonie de vacances dans mon enfance. J'en garde un souvenir de liberté. C'est souvent la première séparation d'avec les parents et on se sent quelqu'un d'autre, on s'affranchit de leur regard. Ce sont les premiers amours, les blagues, les activités durant lesquelles le plus important reste d'abord d'être avec ses copains. Le film raconte tout cela. L'histoire ne traite pas seulement du groupe mais de la personnalité de chacun. C'est une des forces de leur traitement. Ils n'ont pas fait un film sur une troupe traitée comme une seule entité mais sur des caractères bien distincts qui composent un ensemble. C'est extrêmement vivant. C'est pour cela que leur sujet m'a attiré et qu'il touche autant de gens. En regardant leur film, on passe un excellent moment mais en plus, on replonge dans ses propres souvenirs d'enfance et de jeunesse. »

Eric Toledano : « Avec ce film, nous avions la même ambition qu'avec Je préfère qu'on reste amis : traiter un sujet de fond en comédie. Les colonies sont un lieu incroyable. Les enfants arrivent avec des situations sociales et familiales souvent difficiles, toujours différentes, et ils se mélangent. Par essence, la colo n'est pas un sujet superficiel. Evidemment, ce qui s'y passe est loin d'être triste… »

Olivier Nakache : « A tous les stades du projet, nous avons été surpris de voir à quel point les gens s'y reconnaissaient. Que ce soit avec le court métrage, le scénario, pendant le tournage et même pendant les présentations du film en avant-première pendant des festivals, tout le monde réagissait de la même façon. Ceux qui avaient fait des colonies reconnaissaient ce qu'ils avaient vécu, et les autres étaient heureux de découvrir un univers qui leur rappelait aussi pas mal de choses. »


Eric Toledano : « Même le ministre de la jeunesse et des sports, Jean-François Lamour, est venu nous voir sur le tournage et nous a dit qu'un million d'enfants partent chaque année en colo ! Olivier et moi sommes une conjonction : nous avons connu ce milieu et aimons raconter des histoires au cinéma. »

Olivier Nakache : « Ce qui nous intéresse, c'est de faire une comédie ancrée dans la réalité, écrire sur la vie avec humour, sans chercher le gag à tout prix. »

Eric Toledano : « Certains dans l'équipe technique ont d'abord cru que ce serait un film comme les autres, et puis ils se sont retrouvés avec les enfants, dans des lieux superbes, à vivre cette histoire. Ils ont peu à peu pris conscience que nous étions en train de transcrire un vrai phénomène de société, humain, universel et qui dépasse tous les clivages. Les voir se passionner sur ce sujet était touchant ! Ils demandaient si tel événement se passait vraiment comme nous le décrivions. C'était plutôt encourageant ! »   

Des milliers d'expériences pour un souvenir
Eric Toledano : « Avec notre vécu, nous avions de quoi écrire deux scénari ! Ce film est rempli d'anecdotes réelles qui s'intègrent à l'histoire. Enfants et animateurs sont tous inspirés d'une ou plusieurs personnes que nous avons rencontrées. Beaucoup des personnages existent. »

Olivier Nakache : « En vivant ces moments-là, nous n'avons jamais eu conscience qu'ils étaient exceptionnels. Nous pensions que c'était normal. Nous avions vingt ans ; autour de nous, tout le monde évoluait dans l'univers des colos comme directeur ou animateur. Nous y avons même rencontré nos femmes ! Il nous aura fallu le recul pour comprendre que ce groupe était une chance. Maintenant que nous le savons, nous avons envie de partager cette ambiance, ces souvenirs. Nous gardons une vraie nostalgie de cette époque où tout était léger. Nous vivions en groupe, les amours se faisaient et se défaisaient. Tout est très intense car il y a une échéance à trois semaines. Il fallait avoir des potes, être là, dans la bonne chambre, dans les bons coups. »

Eric Toledano : « En tant qu'enfant, j'ai de bons souvenirs des colonies, mais notre film repose davantage sur le regard des animateurs et la perception qu'ils ont des enfants. S'il y a un personnage central, c'est celui du directeur de la colonie. Autour de lui gravitent des animateurs qui ont tous des personnalités différentes. Tous ont vraiment existé. Nous avons mis dans le film les typologies des enfants dont nous avons conservé le souvenir en tant qu'animateurs.
»

Olivier Nakache : « Nous étions des gamins chargés d'éduquer d'autres gamins ! « L'éducation du jeune par le jeune » comme on disait à l'époque. C'est aussi ce qui donne aux colonies leur côté magique. De ce mélange, de ces rencontres, de ce compte à rebours avant la fin du séjour naissent une réaction unique et des liens qui ne sont possibles que dans ce cas. A la fin d'une colonie, c'est à la vie à la mort. On s'écrit des mots enflammés, de grandes amitiés y naissent. Nous en sommes un bon exemple ! »
   
Eric Toledano : « Autre point qui contribue à l'authenticité du film, nous avons même été en colonie dans le château où nous avons tourné ! »

Olivier Nakache : « Nous étions animateurs dans ce château il y a seulement dix ans ! Nous avons écrit en pensant à ce lieu-là. Parmi les nombreuses colonies que nous avons faites, c'est le meilleur endroit, un château du XIXe siècle, dans cette magnifique région des Charentes. La propriété possède un immense parc, tous les terrains de sport imaginables, des tas de coins où se cacher, un dédale de couloirs et d'escaliers pour se poursuivre et un réfectoire immense ! Et le soir, il y a ces somptueux couchers de soleil qui étirent les ombres sur les meules de foin ! »

Eric Toledano : « Le château a été racheté par des Anglais qui le rénovent complètement, mais nous avons eu la chance d'arriver juste au bon moment. Il est devenu trop beau pour être une colonie, mais le temps du tournage, nous avons pu remettre les papiers peints à fleurs, le lino et les tables en formica ! »

Nicolas Duval : « Ce film-là, il n'y avait qu'eux pour pouvoir le faire. Il fallait la connaissance des colonies conjuguée à un talent de cinéma. Ce qu'il y a de surprenant, c'est que malgré le nombre de gens que le sujet concerne, c'est un thème qui n'a pas vraiment été exploré au cinéma. Beaucoup de films, comme La meilleure façon de marcher de Claude Miller, ont utilisé les colonies de vacances comme contexte, mais jamais comme sujet. C'est étonnant. On cherche toujours un sujet qui n'a pas été fait. Peut-être l'avons-nous trouvé... »

L'équipe d'un été
Eric Toledano : « La distribution des rôles est toujours une étape cruciale, mais sur ce projet-là encore plus. Il y a eu deux directrices de casting, une pour les enfants et une pour les adultes. »

Nicolas Duval : « Le casting s'est assemblé par petites touches, en commençant par Jean-Paul Rouve qui était là dès l'origine du projet. Omar Sy a lui aussi été dans les premiers, il avait d'ailleurs le même rôle dans le court métrage. »

Eric Toledano : « Avec Jean-Paul Rouve, c'est une longue histoire d'amitié ! On s'est rencontrés, on s'est entendus. Nous avons une vraie affinité avec lui. Il fait partie des gens qui revivifient le cinéma. C'est quelqu'un de fort dans son jeu d'acteur et il apporte toujours énormément à ses rôles. Quand il estime qu'une scène ne fonctionne pas, c'est déjà un verdict. On ne la tourne pas ou alors on l'améliore. Dès le stade de la lecture, il s'investit dans le film. Il nous a poussés à tout préciser, à aller au bout de nos idées. Il a en plus un côté caméléon assez fascinant. Physiquement, c'est un véritable transformiste. Il prend tellement la tête de ses personnages que même s'il porte une perruque, personne ne s'en aperçoit ! »


Olivier Nakache : « Nous ne connaissions pas Jean Benguigui et c'est un vrai plaisir de travailler avec lui. Il est parfait dans son rôle. Comme Jacques Boudet. Il y a eu de vraies rencontres sur ce film. »

Il précise : « Trouver l'équipe des animateurs n'était pas simple non plus parce que même un comédien que l'on aime peut ne pas fonctionner en groupe. La directrice de casting a fait un travail remarquable qui, nous le croyons, apporte vraiment quelque chose. Beaucoup de ces comédiens n'ont jamais été vus au cinéma. »

Eric Toledano : « Sur notre premier film, le défi avait été de tourner avec un géant du cinéma français, Gérard Depardieu. Il nous a d'ailleurs beaucoup appris. Sur ce film-ci, notre challenge était plutôt de choisir des gens qui compteront peut-être demain. Nous ne savons pas ce qui se passera avec ce film, mais nous sommes sûrs qu'on reverra certains des acteurs, comme Julie Fournier, Lannick Gautry ou Joséphine de Meaux. Ils ont une place à prendre. »

Olivier Nakache : « Pour les enfants, c'était assez compliqué. Nous en avons vu quelques centaines. A ces âges-là, la magie est là ou elle ne l'est pas. Ils sont ou ils ne sont pas ! Il n'y a pas vraiment d'acteurs. Ils ne trichent pas, ils n'ont pas conscience de jouer. Seule exception, Arthur Mazet qui joue le rôle de Guillaume, et qui, à quinze ans, est un véritable acteur. Les autres sont des natures et nous sommes très contents du groupe. Ils sont vivants ! »

Nicolas Duval : « Dès les premiers jours de tournage, nous avons été heureux de constater que la distribution fonctionnait. Les enfants ressemblaient souvent beaucoup à leur personnage ! »

Eric Toledano : « Au niveau de la mise en scène, il s'agissait pour nous dans le cadre d'un deuxième film de se rapprocher d'un ton et d'un style qui serait le notre. Nous avons complètement adapté notre manière de filmer au sujet. La caméra est fluide et toujours mobile, un peu comme le regard d'un enfant.
Il s'agissait avant tout de retranscrire l'aspect vivant et rythmé d'une colonie de vacance. Nous voulions absolument que les scènes aient un aspect « piquées au vif », notre objectif était de faire oublier que nous étions au cinéma. C'est pourquoi nous avons recherché la lumière dorée des étés à la campagne, les couchés de soleil, l'atmosphère familière à tous ceux qui ont participé à ce genre d'expérience.
»

Bienvenue sur le tournage
Eric Toledano : « Ce n'est pas un film facile avec deux acteurs dans une salle de restaurant, ou un couple sur un banc ! Il y a toujours cinquante enfants dans le cadre. Nous ne soupçonnions pas que filmer des gamins pouvait être aussi dur. Nous avions beaucoup de scènes avec de la figuration en arrière-plan. On a eu à peu près tous les cas de figure. Pour les scènes de train, on a même fait des Paris-Mulhouse en train Corail pendant quarante-huit heures avec des petits comédiens et plus de soixante figurants ! Après des journées pareilles, on dort bien… »

Olivier Nakache : « Avec le nombre d'enfants que nous avions à gérer, notre expérience d'animateurs nous a été très utile. Nous savions comment leur parler, en les motivant sans aller trop loin. Dès le départ, nous sommes allés vers eux, sans barrière, comme des animateurs de colo, et nous avons appris à nous connaître. Nous discutions avec eux entre deux prises. Le fonctionnement du tournage a rapidement ressemblé à celui d'une colonie ! Dans l'équipe, de la technique aux comédiens, chacun s'est retrouvé naturellement animateur à un moment ou un autre. Certains jouaient au ballon, d'autres leur expliquaient à quoi servaient les machines sur le tournage. C'était léger et ludique ! »

Eric Toledano : « Logiquement, les enfants n'ont ni la maîtrise du jeu, ni l'endurance des adultes. Lorsqu'ils ont appris le texte, changer un mot peut les déstabiliser. Ils ont parfois du mal à se concentrer et doivent toujours comprendre ce qu'ils font. Tout le monde s'y est mis, eux les premiers ! Paradoxalement, ce sont les plus petits, Ilona Bachelier et Martin Jobert, qui sont les plus faciles. Ils sont en plus très pros. Ceux qui ont quatorze ans ont déjà conscience de faire du cinéma. Ils cherchent à contrôler leur image, et parfois, cinq ou six prises sont nécessaires pour obtenir ce qu'on obtient en une prise avec la magie et l'innocence des plus jeunes. »

Olivier Nakache : « Tourner le film était parfois surréaliste pour nous. Jean-Paul jouait des mots qui avaient été les nôtres. Certains comportements des personnages étaient directement calqués sur ceux que nous avions eus. L'ambiance même rappelait ce que nous avions vécu. »

Eric Toledano : « Les scènes des Olympiades étaient particulièrement troublantes. Nous revivions tout, le lieu, la mauvaise foi des moniteurs… Tout ce qui se déroulait devant nous était parfaitement conforme à mes souvenirs. C'est un sentiment assez étrange ! »

Il poursuit : « Quand on pense à la logistique qu'il faut pour recréer tout ce qui nous arrivait si facilement... D'une émotion, d'une idée, d'un souvenir, surgit une image. Ensuite, il faut tout le travail d'une équipe pour la faire exister au cinéma et la partager avec le public. Nous impliquer dans ce processus est absolument passionnant et nous n'avons jamais perdu de vue l'émotion, joyeuse ou tendre, que nous souhaitions véhiculer. »

Deux esprits pour une vision
Eric Toledano : « C'est la cinéphilie qui nous a rapprochés, Olivier et moi. Nous aimions les mêmes films et nous avons commencé à en parler. Plus jeune, j'enregistrais des films sur des cassettes audio et je me les repassais en boucle ! Je regardais les films dix fois. C'était pareil pour Olivier. »

Olivier Nakache : « Les gens nous appellent parfois Ricolivier ! Nous n'expliquons pas notre complicité et nous ne cherchons pas à le faire. Nous travaillons à l'instinct. Un jour, nous ferons peut-être des films séparément, mais nous n'en avons pas envie pour le moment. Aucun de nous ne monopolise quoi que ce soit. Nous écrivons ensemble, ce qui se prolonge dans la mise en scène. Mais le cinéma, c'est tellement crevant que nous ne comprenons pas comment les autres se débrouillent seuls ! A deux, on laisse passer moins de choses, on va plus loin et on a souvent plus d'idées. »

Nicolas Duval : « J'ai toujours pensé que le métier de réalisateur concernait plutôt des égocentriques, mais Eric et Olivier sont de parfaits contre-exemples. Ils ont le plus souvent les mêmes envies et si ce n'est pas le cas, il y en a toujours un pour convaincre l'autre. Ils fonctionnent tellement bien que si l'un est absent, l'autre a du mal à travailler ! Ils ne se partagent pas les tâches, chacun fait tout. Quand on les voit travailler sur le plateau, ils sont alternativement à la direction des acteurs, à la caméra ou au combo. Ils échangent, se mettent d'accord. De l'écriture au montage, ils sont ensemble. Cela leur donne un impressionnant potentiel de travail. »


Eric Toledano : « A travers cette comédie, nous avons envie de partager quelque chose de léger, qui marque pourtant profondément tous ceux qui le vivent ou l'ont vécu. C'est une expérience humaine, un souvenir, une tranche de vie inoubliable »

Olivier Nakache conclut : « Nous espérons que les gens vont s'amuser et ressentir, à travers cette comédie, un petit peu de nostalgie, un chemin vers cette part forcément enfouie en nous et qui est si importante ! »

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Fiche technique
Réalisateurs et scénaristes : Eric Toledano et Olivier Nakache
Producteurs
: Nicolas Duval-Adassovsky, Bruno Chiche et Thomas Langmann
Directeur de la photographie
: Rémy Chevrin (A.F.C.)
Monteur
: Dorian Rigal-Ansous
Chef décorateur
: Franck Benezech
Casting
: Sylvie Peyrucq               
Casting enfants
: Valérie Espagne           
Musique originale
: Frédéric Talgorn
Son
: Pascal Armant, Laurent Quaglio et Thierry Delor
1er assistant réalisateur
: Pascal Guerin               
Directrice de production
: Camille Lipmann            
Directeur de post-production
: François Brun
Scripte
: Lucie Truffaut
Directrice financière
: Claudine Mirailles
Assistante de production
: Karine Lagny
Régisseur général
: Pierre-Yves Lestum
Régisseur adjoint
: Frédéric Sevestre
1er assistant opérateur
: Pierre Chevrin
2nd assistant opérateur
: Stéphanie Techenet       
Cadreur  2ème caméra
: Dominique Delguste       
Steadycamers
: Nicolas Dollander et Loïc Andrieu
Perchman
: Fabrice Grizard 
Créatrices de costumes
: Véronique Perier
Chef maquilleuse
: Suzel Bertrand
Chef coiffeuse
: Guilaine Tortereau
1er assistant décorateur
: Eric Viellerobe
2ème assistant décorateur
: Francis Guibet
Régisseur d'extérieurs
: Sylvie Mesa Holodenko, Stéphanie Lelu et Thierry Lautout
Accessoiriste
: Emmanuel Galtier
Chef constructeur
: Eric Petit-Jean
Chef menuisier
: Christian Rivet
Chef peintre Angoulême
: Lola Haertling
Machiniste décoration
: Philippe Robin
Tapissière
: Sandrine Bonheure
Graphistes
: Yves Bogdan et François Willenz
Chef électricien
: Olivier Rodriguez
Chef machiniste
: Philippe Lapicque   
Machinistes
: Sébastien Franchault et Guillaume Noel
Machinistes Angoulême
: Pascal Chassain et Frédéric Blochet
Régleur de cascades
: Georges Branche
Story board
: Fred Remuzat
Directeur de post-production
: François Brun   
Responsable de post-production
: Elodie Glain                   
Monteur adjoint
: Antoine Battistelli
Monteur paroles
: Elizabeth Paquotte
Post-synchronisations
: Fred Mays
Réalisation du générique d'ouverture 
: Made in Eden™  Frédéric Bourque et Julie Potvin
Musique originale composée et orchestrée par
: Frédéric Talgorn
Coordinateur musical : Paul Talkington
Enregistrée avec
: le Philarmonia Orchestra au studio Angel de Londres.
Musique additionnelle originale orchestrée et dirigée par
: Slim Pezin

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présentation réalisée avec l’aimable autorisation de

remerciements à
Aurélie Pierre et Olivier Lebraud
logos, textes & photos © www.snd-films.com

Publié dans PRÉSENTATIONS

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