• The devil’s rejects

Publié le par 67-ciné.gi-2006













The devil’s rejects horreur de Rob Zombie





avec :
Sid Haig, Bill Moseley, Sheri Moon Zombie, William Forsythe, Ken Foree, Matthew Mcgrory, Leslie Easter Brook, Geoffrey Lewis, Priscilla Barnes, Dave Sheridan, Kate Norby, Lew Temple, Danny Trejo, Diamond Dallas Page, Brian Posehn, Eg Daily, Tom Towles, Michael Berryman, P. J. Soles, Deborah Van Valken Burgh, Ginger Lynn Allen, Jossara Jinaro, Chris Ellis, Mary Woronov, Daniel Roebuck, Duane Whitaker, Michael “Red Bone” Alcott, Juanita Guzman, Sean Murphy, Jordan Orr, Kelvin Brown et Glenn Taranto


durée : 1h41
sortie le 19 juillet 2006

***

Synopsis
Depuis la mort de son frère, le shérif Wydell ne vit plus que pour se venger de l'épouvantable famille Firefly. Un beau matin, décidé à les éliminer sans pitié et au mépris de la loi, il encercle leur maison avec ses hommes. Seuls Otis et sa soeur Baby parviennent à s'échapper, et se réfugient dans un motel perdu loin de tout.
Ils attendent de retrouver leur père, Captain Spaulding, et tuent sans hésiter quiconque se dresse sur leur chemin. Aucun des deux camps n'arrêtera avant que l'issue soit définitive et absolue. Wydell et les Firefly iront jusqu'au bout. La guerre ne fait que commencer, et elle va prendre beaucoup d'ampleur…


***

Notes de production
Tout droit surgie de l'esprit délirant de la punk star Rob Zombie, voici l'aventure la plus saignante, la plus explosive et la plus déjantée qui soit. L'idole du rock punk, réalisateur atypique de clips et auteur et metteur en scène de La maison des 1000 morts, nous livre ici les nouvelles aventures des bizarres et macabres personnages de son premier film, avec encore plus d'idées et de moyens…
Loin d'être une suite, The devil’s rejects est un délire horrifique qui repousse toutes les limites et s'en donne à coeur joie. Cramponnez-vous et embarquez dans ce film unique, mélange de western classique, de gore explosif et de tragédie shakespearienne !

HORRIBLEMENT DIFFERENT
Dans La maison des 1000 morts, un film à part devenu culte, Rob Zombie nous faisait découvrir une étrange famille, les Firefly, des psychopathes vicieux et brutaux qui s'adonnaient au meurtre avec enthousiasme. The devil’s rejects marque le retour à l'écran de ces anti-héros, Captain Spaulding, Otis, Baby, Maman Firefly et Tiny.
Rob Zombie précise : « The devil’s rejects n'est pas une suite. Je déteste les suites ! Par nature, une suite est souvent la même histoire que le premier film avec un numéro 2 dans le titre. The devil’s rejects est un film à part entière. Il se trouve simplement qu'il met en scène des personnages qui ont déjà connu une première aventure dans un film précédent. »
Au plan narratif comme au plan stylistique, The devil’s rejects se démarque sérieusement de son prédécesseur. Dans ce nouveau film, le shérif John Wydell, rêvant de venger la mort de son frère, prend les Firefly par surprise, et il va les traquer jusqu'au bout de la terre s'il le faut. Eux continuent de leur côté à faire ce qu'ils aiment : buter tout le monde. Ce second film s'affranchit des limites du premier, et se révèle une synthèse détonnante des éléments traditionnels de l'horreur, des thrillers de meurtres en série et des westerns peuplés de gardiens de la loi héroïques.
« Sur ce projet, j'ai tout approché de façon radicalement différente, précise Rob Zombie. Mon premier film était assez kitsch et surréaliste, avec des personnages qui n'hésitaient pas à en faire beaucoup. Ici, je voulais au contraire un réalisme absolu à chaque minute, des décors aux costumes, sans oublier évidemment l'interprétation des acteurs. »
Sid Haig, qui reprend le rôle de Captain Spaulding, le tueur dément patriarche de la famille Firefly, commente : « The devil’s rejects est bien plus horrible que le premier film. Il y a plus de subtilité, et au moins autant d'horreur psychologique que d'horreur physique. » Le scénariste-réalisateur confie : « Je ne m'attendais pas à faire un autre film après La maison des 1000 morts, mais le succès a été tel lors de son premier week-end de sortie qu'une semaine après seulement, on parlait déjà d'une suite. Il m'a fallu longtemps pour écrire le nouveau scénario, parce que je ne savais pas vraiment dans quelle direction aller. Je n'avais pas envie de refaire le même film, je voulais autre chose, quelque chose qui n'ait rien à voir. »

Pour l'amour d'un certain esprit...
La passion que voue Rob Zombie aux films d'horreur l'a pris très jeune. Enfant, il aimait les films à créatures ; adolescent, il s'est délecté de Massacre à la tronçonneuse, Zombie, Taxi driver et Orange mécanique.
« Tous ces films ont forgé ma sensibilité de cinéaste, confie Zombie. Ce sont les films punk-rock du cinéma. Alors que tout le monde se précipitait voir les grands films de studio, moi et mes amis allions voir Zombie dans les obscurs drive-in des quartiers miteux de la ville… Ces films avaient quelque chose de spécial. Ils étaient purs. Ils n'avaient pas été faits pour séduire qui que ce soit. »
Pour The devil’s rejects, Rob Zombie s'est également inspiré des films policiers des années 70, comme L’épreuve de force, Bonnie and Clyde, et de westerns La horde sauvage.
« Par bien des aspects, The devil’s rejects est un western super violent. J'ai beaucoup utilisé de plans à la Sergio Leone, des très gros plans sur les visages. Je voulais des images brutes, voir les saletés sur les dents, la sueur sur la peau brûlée par le soleil… » Considérant ses sources d'inspiration, il n'est pas étonnant que Zombie ait choisi de situer ses films dans les années 70.
« Je suis un enfant de cette époque, rappelle-t-il. Non seulement c'était une grande époque pour le cinéma, mais c'était aussi une époque plus primitive. Il est difficile d'écrire aujourd'hui un film où une voiture tombe en panne et où les gens se retrouvent perdus, isolés, parce que de nos jours, un des types aurait un téléphone cellulaire et l'autre un Blackberry ! »

Un pour tous, tous pourris
Au contraire de la plupart des films d'horreur contemporains, la limite entre le bien et le mal n'est pas claire dans The devil’s rejects. Le film exalte des protagonistes qui sont des anti-héros, et même le seul personnage censé se trouver du côté du bien, le shérif Wydell, finit par succomber à ses tendances criminelles. A la moitié du film, ce sont les tueurs qui ont gagné la sympathie du public…
« Tous mes personnages principaux sont mauvais ! explique Zombie. Même le shérif Wydell bascule du mauvais côté. La difficulté était donc de m'assurer que le public serait partant pour la balade… Je me suis pas mal référé à Bonnie and Clyde. Dans ce film, vous vous retrouvez à éprouver de la sympathie pour des personnages qui sont du mauvais côté de la barrière. Et pourtant, ils sont si attachants que lorsqu'ils se font tuer à la fin, c'est insupportable… »
Avec cette dynamique anti-héros à l'esprit, Rob Zombie a choisi de se concentrer davantage sur le développement des personnages.
« De caricatures cartoonesques effrayantes, ils sont devenus réalistes, souligne le réalisateur. Personne ne s'identifie à Freddy Krueger ou à Jason ! Impossible de les montrer comme des machines à tuer sans âme si l'on veut que le public se sente proche d'eux. Il fallait qu'ils sonnent vrai. » Sheri Moon Zombie, la femme de Rob Zombie et l'interprète de Baby, la sulfureuse et séduisante tueuse, commente : « Je crois que c'est leur charisme qui fait que l'histoire fonctionne. Ces personnages sont attachants… On a envie de les suivre. Ils me font penser aux durs avec qui on a envie d'aller, au lycée… »
Rob Zombie acquiesce : « Regardez Charles Manson : de toute évidence, c'est un être horrible qui a commis des choses abominables, et pourtant il est fascinant. Il est si charismatique que vous finissez presque par oublier ce qu'il a fait. Voyons les choses en face : être cool vous permet de faire beaucoup de choses dans la vie ! »
On ne peut s'empêcher de se sentir proche du lien familial qui unit les Firefly. Si, mus par leur irrépressible pulsion de meurtre, ils n'épargnent personne, ces assassins sont farouchement loyaux les uns envers les autres, et font preuve d'un attachement solide en tant que famille.
Le réalisateur confie : « Je me suis toujours senti attiré par les familles ou les groupes d'exclus, par tous ceux qui sont à part et ont créé leur propre monde. Entre eux, les bizarres deviennent normaux, et c'est là qu'ils deviennent sympathiques. »
Sid Haig, Sheri Moon Zombie et Bill Moseley retrouvent tous les trois leurs personnages du premier film, pour une dynamique familiale encore plus forte.
« Sid, Bill et Sheri étaient géniaux dans le premier film, souligne Zombie, et je trouve qu'ils fonctionnent à merveille ensemble. A présent, ils sont devenus amis, et ces liens personnels qu'ils ont développés depuis quatre ans servent le film. Ils se comportent vraiment comme une famille… On dirait qu'ils sont parents, même quand la caméra ne tourne pas ! »
« Sid, Bill et moi nous entendons très bien dans la vie, confie Sheri Moon Zombie, ce qui a rendu le tournage bien plus facile et plus agréable. On a beaucoup improvisé et on s'est bien amusés ! »


Abominablement drôle
Comme avec La maison des 1000 morts, The devil’s rejects est ponctué d'humour macabre, dont une bonne part vient de la manière de parler propre à chaque personnage.
« Les personnages sont drôles, ils ont de la personnalité, observe Rob Zombie. Le film a besoin d'humour, autrement il aurait été si sinistre qu'il en aurait été inregardable ! »
Sid Haig raconte : « J'ai adoré le personnage du Captain Spaulding dès que j'ai lu le scénario du premier film. Captain Spaulding, c'est un peu Captain America qui aurait mal tourné ! Il n'a peur de rien. Il a toujours un atout dans sa manche. Etre un tueur n'est qu'une partie de sa personnalité. Je dois avouer que c'est le méchant le plus spécial et aussi le plus humain que j'aie jamais joué ! Et il a un vrai sens moral - même s'il est un peu dévié... »
Pour Sheri Moon Zombie, qui a déjà joué à plusieurs reprises sous la direction de son mari dans ses clips et était déjà Baby dans La maison des 1000 morts, The devil’s rejects est son expérience la plus accomplie.
« C'était fantastique, confie-telle. Baby terrorise, elle tue, elle fait la fête, et elle est aussi une victime… Ce rôle était dix fois plus enrichissant que ce que j'ai fait jusqu'à présent ! Pourtant, la variété des émotions était difficile. J'ai eu du mal avec la violence. Je trouve pénible de jouer des choses violentes, de faire du mal aux autres. Et être une victime est effrayant aussi. J'ai vraiment eu peur dans les scènes où William me torture ! »
Rob Zombie précise : « J'ai travaillé avec Sheri comme avec les autres acteurs, même si elle est ma femme. En tant que réalisateur, j'ai 50 acteurs sur le plateau et je dois traiter chacun d'eux d'une manière personnelle, répondre à ses besoins à lui. Avec Sheri, nous avons forgé notre propre relation de travail ».
« J'aime travailler avec Rob, précise Sheri, je ne peux rien imaginer de mieux !»
William Forsythe reprend lui aussi le rôle qu'il tenait dans La maison des 1000 morts, celui du shérif Wydell. Mû par son désir de venger le meurtre de son frère, le shérif finit lui-même par succomber à l'appétit de meurtre.
« Le désir de vengeance prend le dessus, commente l'acteur. Wydell devient littéralement obsédé par l'envie de faire subir des choses atroces aux Firefly, de les faire souffrir de la même façon qu'ils ont fait souffrir leurs victimes. »
Après avoir lu le scénario, Forsythe a discuté avec Zombie et a été séduit par sa vision. « Nous avons décidé que Wydell serait un personnage qui nous ramène à la grande époque du western, à l'image de Robert Shaw ou Lee Marvin. Un dur, qu'il est impossible d'arrêter. »
Sur le plateau, Forsythe a dépassé les attentes de Zombie. « William est quelqu'un avec qui il est formidable de travailler, note le réalisateur. Son personnage devait vraiment aller de l'avant sous peine de se faire dévorer à l'écran par les trois autres. Il a une vraie présence, menaçante, intense… Un vrai sadique ! »

Atrocement vrai
Malgré un budget plus élevé et davantage de ressources techniques, Zombie a veillé à éviter le style visuel net et raffiné de la plupart des films d'horreur modernes.
« Les films de maintenant, comparés à ceux des années 70, ont l'air bien trop lisses, trop léchés… La vraie vie est désordre et chaos. Dès que ça devient trop clean, on sait qu'on est au cinéma et ça ne fait plus peur. Je voulais un style plus grossier, plus sommaire. »
Rob Zombie a donc tourné en Super 16, une pellicule avec un grain plus marqué qui s'utilise avec des caméras plus petites et plus légères que le 35 mm. Cela lui a permis de tourner presque entièrement avec une caméra au poing ou à l'épaule. « Il y a peu de steadicam et un seul plan à la dolly dans tout le film, précise-t-il. Même quand nous placions la caméra sur un trépied, nous la posions toujours sur un sac pour que ce soit un peu instable. »
Selon cette même approche, la palette de couleurs de The devil’s rejects rappelle celle, sombre et désolée, des premiers films de George Romero, ou le premier Massacre à la tronçonneuse.
Rob Zombie précise : « Lorsque quelque chose d'horrible se produit, je veux que ce soit atroce à regarder. La scène du motel est un bon exemple. Quand nous l'avons tournée, tous ceux qui regardaient les moniteurs étaient verts, et les acteurs avaient eux-mêmes l'air malade. Pour moi, cela voulait dire que nous étions sur le bon chemin ! »
Seul architecte de son image dans la musique, veillant lui-même au développement et à la conception de tous les produits liés à son groupe, White Zombie, et à leurs spectacles, Rob Zombie a naturellement agi de la même façon sur son film. Il s'est impliqué dans tous les aspects de la création, des décors aux costumes et aux coiffures.
« Je rends tout le monde dingue ! confie-t-il en riant. J'avais fait des dessins de tous les personnages avant même que nous n'ayons une chef costumière. Je savais ce que je voulais, à quoi chaque élément devait ressembler. Pour moi, tout compte. Si une boucle de ceinture ne correspond pas, ça me rend fou ! Tout est dans les détails. Surtout pour un film comme celui-ci, où vous essayez de créer un univers particulier. J'essaie toujours de trouver un ton qui soit suffisamment intéressant pour qu'on ait envie de regarder, sans jamais trop appuyer. »


Un tournage d'enfer
The devil’s rejects a été entièrement tourné en extérieurs dans les villes de Lancaster et Palmdale, situées dans le désert californien, durant les mois les plus chauds de l'été. Si les lieux de tournage n'étaient pas toujours adaptés aux besoins de l'équipe, ils ont contribué à l'authenticité du cadre rural et désolé du film.
Rob Zombie se souvient : « Le décor du motel était confiné, exigu, et il faisait atrocement chaud… Au bout d'un moment, les acteurs avaient vraiment l'air à bout. C'était très inconfortable. Pareil avec le désert. Mais cela a apporté une dimension de réalisme qu'on n'aurait jamais eue avec des décors en studio. Ça a aidé les acteurs à entrer dans la peau de leur personnage. »
Sid Haig admet : « Chaque scène a l'air vraiment plus réelle quand il fait aussi chaud et que vous souffrez physiquement ».
Malgré l'inconfort des acteurs et de l'équipe, Zombie a réussi à créer un véritable esprit d'équipe sur le plateau et une ambiance de pleine coopération.
« C'est toujours un plaisir de travailler avec Rob, confie Sid Haig. Il est détendu. Il est clair dans ce qu'il veut. Et il vous laisse faire votre travail. Il connaît d'instinct votre folie personnelle et n'a pas peur de vous amener à l'explorer… »
Sheri Moon Zombie ajoute : « Rob sait comment nouer des relations bâties sur la confiance. Il a une vision, et il veut obtenir le meilleur de tous ses acteurs. »
William Forsythe ajoute : « Rob est un passionné, et il n'a aucune prétention quand il dirige. Il encourage l'improvisation. Nous avons essayé beaucoup de choses différentes, et une fois qu'on avait le corps de la scène, il nous laissait toujours des prises supplémentaires pour nous amuser et voir ce qu'il en sortait. »
Même s'il s'est inspiré d'un certain nombre de films de genres variés, le réalisateur a combiné et déformé ces influences à sa manière et les a pliées à sa propre créativité. Le résultat est un film imprévisible, inclassable, déroutant, la création d'un artiste avec une vision unique…
Sid Haig note : « C'est le choc de la sincérité et de la folie qui fait l'originalité de ce film. Certaines scènes paraissent remarquablement vraies. Et à d'autres moments, la fenêtre s'ouvre et l'humour apparaît… C'est vraiment spécial. »
Sheri Moon Zombie ajoute : « Ce qui est formidable dans la façon de faire de Rob, c'est qu'il ne s'adresse pas à un public d'ados fans d'horreur. Ça ne l'intéresse pas. Il écrit des rôles de valeur pour des acteurs plus âgés et il fait ses films de manière adulte. »
Forsythe ajoute : « Les slasher movies n'ont jamais été mon truc. Mais ce film est différent. C'est comme une explosion à la fin d'une ère d'horreur… Rob emmène le genre dans un univers fou, post-moderne, psycho et rock… Et je ne pense pas qu'on puisse aller plus loin dans cet esprit. Les gens bien tournent mal. Les méchants deviennent pires. Tout ce qui n'est pas supposé arriver se produit. Rob enlève le filet de sécurité sous les pieds du public, et c'est exactement ce dont il a envie… »

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Fiche technique
Réalisateur et scénariste
: Rob Zombie
Producteurs
: Andy Gould, Mike Elliott et Rob Zombie
Producteurs
: Michael Ohoven et Marco Mehlitz
Producteurs exécutifs
: Peter Block, Michael Paseornek, Michael Burns et Guy Oseary
Coproducteur
: Brent Morris
Directeur de la photographie
: Phil Parmet
Chef décorateur
: Anthony Tremblay
Chef monteur
: Glenn Garland
Compositeur
: Tyler Bates
Maquillages spéciaux
: Wayne Toth
Superviseur effets visuels
: Robert Kurtzman
Chef costumière
: Yasmine Abraham
Distribution des rôles
: Monika Mikkelsen
Coordinateur des cascades
: Kane Hodder
Administrateur de production
: Brent Morris
1er assistant réalisateur
: Marco Black
2e assistant réalisateur
: Ty Arnold
d’après les personnages créés par
: Rob Zombie
Superviseur de production
: Robert Ortiz
Producteur associé
: Ali Forman
Directeur artistique
: Timothy T. K. Kirkpatrick
Ensemblière
: Lisa G. Tong
Cadreur caméra “A” / steadicam
: Rick Davidson
Cadreur caméra “B”
: David V. Daniel
Cadreur caméra “C”
: Chris Hayes
Supervision du script
: Sandy Schklair
Ingénieur du son
: Buck Robinson
Chef éclairagiste
: William Russell
Chef machiniste
: Vincent Palamino
Chef accessoiriste
: Robert N. Anderson
Coordinateur effets spéciaux
: John Hartigan
Coordination pyrotechnie
: Frank L. Pope
Régisseur d’extérieurs
: George Agnew
Effets visuels créés par
: Precinct 13 Entertainment, Inc.
Chef animateur/ images composites
: David Matherly
Animateurs & images composites
: Andrew Sagar, Frank Purtiman, Ulysses Argetta, Al Tuskes, Vincent Toscano, Bill Zahn, Jason John Ston, Stephan Vladimir Bugaj, Neil Blevins, Lyndal Heathwood et Steve Parker
Maquillages
: Douglas Noe
Coiffures
: Maria Sandoval
Superviseur de postproduction
: Carl Pedregal
Coordinateur de postproduction
: Mark Mccoy
Coordinatrice de production
: Diane Rosenberg
Coordinatrice département décoration
: Abigail Sheiner
Consultants visuels
: Brad Vancata et David Bonanno
Coordinateur construction
: Michael F. Diersing
Montage son
: Earcandy, Inc.
Superviseurs montage son
: Barney Cabral et Perry Robertson
Ingénieur du son
: Scott Sanders, Mpse
Monteur son
: Richard Dawn
Prestation de réenregistrement
: Todd-Ao Studios Hollywood
Mixage
: Patrick Cyccone Jr. et Adam Jen Kins
Intermédiaire numérique par
: Fotokem Digital Film Services
Superviseurs de la musique
: Joel C. High et Tom Rowlan D
Musique enregistrée par
: Robert Carranza
Musique mixée et «Destroyed» par
: Wolfgang Matthes
Orchestration cuivre et direction d’orchestre
: Tim Williams
Khaki Palms Orchestra : Damon Fox, Mellotron et Farfisa
Basse
: Johnny Scaglione
Effets basse
: Justin Meldal-Johnsen
Batterie et percussions
: Greg Ellis
Percussions
: Butch Norton et Ray Mcnamara
Effets espace
: Wolfgang Matthes
Guitare
: Tyler Bates et Nan Vernon
Effets voix : Azam Ali


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présentation réalisée avec l’aimable autorisation de

remerciements à
Béatrice Laherrere et Paul Robert
logos, textes & photos © www.metrofilms.com

Publié dans PRÉSENTATIONS

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